Lieu Ă confirmer...
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â Le peuple du QuĂ©bec a parlĂ© en 1995. Mais ce cri a Ă©tĂ© volĂ©, Ă©touffĂ©, manipulĂ©. Aujourdâhui, 30 ans plus tard, la vĂ©ritĂ© ne dort plus.
Câest lâheure de reprendre la rue, la parole et la mĂ©moire collective.
đ Pourquoi cette mobilisation?
Parce que le rĂ©fĂ©rendum de 1995 nâĂ©tait pas une dĂ©faite : câĂ©tait un braquage dĂ©mocratique.
đ Parce que :
- Le camp du « Non » a dĂ©passĂ© illĂ©galement les plafonds de dĂ©penses Ă©lectorales de plus de **539 000 $**, soit **10x lâĂ©cart du vote final**.
- Des millions de dollars de **fonds publics fédéraux** ont été détournés via Option Canada pour fausser le débat.
- Le fameux « Love-In » du 27 octobre, avec ses transporteurs subventionnés, était une opération de propagande orchestrée hors-la-loi.
- **Jean ChrĂ©tien lui-mĂȘme a dĂ©clarĂ©** quâil nâaurait pas reconnu une victoire du « Oui ».
- **Des milliers de nouveaux citoyens** ont été naturalisés en urgence quelques semaines avant le vote.
- Les preuves? **Classifiées à perpétuité. 4500 documents. 90 témoignages.** Enterrés. Cachés.
đ§š On appelle ça comment, ailleurs? Une fraude dâĂtat. Une opĂ©ration de sabotage dĂ©mocratique.
Et nous, on appelle ça : **une trahison.**
đŁ Ce quâon veut :
- La **déclassification complÚte** des archives de la Commission Grenier
- La **reconnaissance publique** des irrégularités de 1995
- Le **réveil populaire** : on ne bùtira pas un pays sur un mensonge enterré
- Le **droit de faire un nouveau référendum**, sans tricherie, sans Ottawa dans le décor
đą Viens avec ta pancarte, ton slogan, ta mĂ©moire, ta colĂšre. Viens pour ceux qui ont votĂ© « Oui » et se sont fait voler. Viens pour ceux qui nâont jamais oubliĂ©.
đ Tricherie + impunitĂ© = insulte Ă la nation.
đ€ Prises de parole â micro ouvert â lecture de tĂ©moignages â distribution du âRapport VolĂ©â â ligne du temps visuelle â prĂ©sence dâexperts et militants de la premiĂšre heure.
đ Aucun parti politique ne commande cette mobilisation. Câest une levĂ©e populaire. Une exigence de justice historique.
đ„ Parce que lâHistoire ne se lave pas avec du silence. Et que la vĂ©ritĂ©, elle, ne meurt jamais.