Chaque année, en France, plus de deux millions d’animaux sont victimes d’expériences douloureuses et stressantes, enfermés dans des conditions misérables lorsqu’ils ne sont pas entre les mains des laborantins. Un chiffre qui reste stable alors que la directive européenne ainsi que la loi française et l’opinion publique réclament une diminution du nombre d’animaux utilisés dans le cadre de l’expérimentation.
Parmi eux, des primates, des rongeurs, des poissons et même des chiens.
Le « meilleur ami de l’homme »
En 2023, plus de 4 000 chiens ont été utilisés dans des laboratoires en France – un chiffre en hausse. Leur origine est souvent floue : certains viennent d’élevages français comme ceux de Mézilles ou Gannat, propriétés du groupe américain Marshall BioResources ; d’autres sont importés en dehors de l’Union européenne, sans traçabilité, ce qui ouvre la porte à de possibles trafics.
Une opacité systémique
L’expérimentation animale demeure un système fermé : documents difficiles d’accès, absence de suivi des animaux, manque d’informations sur les protocoles et la souffrance infligée. Même les élevages échappent au regard public.
Chiens réduits à l’état de marchandises
Condamnés à vivre en cage, isolés, malades, privés d’interactions, les chiens sont traités comme de simples objets. Leur détention obéit à une réglementation minimale, avant qu’ils soient utilisés dans des expériences souvent cruelles.
De là, ils sont transférés, vendus, instrumentalisés – comme de vulgaires produits de laboratoire. Leur vie entière est définie par l’exploitation et la souffrance.
La recherche, à quel prix ?
Dans les laboratoires, les chiens sont principalement utilisés dans des tests de toxicité, autrement dit des procédures d’empoisonnement contrôlé, au service de l’industrie pharmaceutique humaine ou vétérinaire. D’autres sont intégrés à des recherches appliquées ou fondamentales, à l’enseignement ou à la production de substances à base de sang.
La France à contre-courant
Malgré un large soutien public aux alternatives, la France continue de financer massivement l’expérimentation animale, conservant son statut de mauvaise élève de l’Europe. Depuis plus de vingt ans, One Voice se bat pour fermer ces élevages de chiens du pays.
2025 : il est temps de changer de cap
Nous ne pouvons plus détourner le regard. Une recherche moderne, fiable et éthique est possible. Il est temps de rompre avec la cruauté.
La mobilisation est essentielle
À travers cette action coordonnée, nous faisons écho à la marche pour la fermeture de l’élevage de Mézilles, portant la voix des milliers de chiens qui y sont enfermés. Rejoignez-nous !
Actualités :
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Rapport :
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