Contemporary folk songs, at their very best, offer an insight into the hardships, attitudes, and resolve of characters and events that shape our day-to-day lives. You can dress these songs up in inspired arrangements and intricate instrumentation but, at their very essence, the archetypal folk song is all about stories. Stories and people. Something such compelling songwriters as Eric Bogle, Si Kahn, Ewan MacColl, and Stan Rogers … all understood and mined so effectively.
James Keelaghan, too, burrows into that same rich seam with equal ability and comparable conviction. To quote Eric Bibb, the award-winning American acoustic bluesman, after listening to Keelaghan perform: “[You’re] a joy to hear, just beautiful. Reminded me of the best of the best of another time – Liam Clancy, Tom Paxton etcetera.” Less colourful but more succinct, Dave Marsh, the eminent Rolling Stone critic, simply described Keelaghan as “Canada’s finest songwriter.”
Truly, throughout a career that now spans almost four decades, the Juno and Canadian Folk Music Award winner has created a repertoire of incalculable importance – a unique body of work, either inspired by or drawn from the folk tradition. Ten solo albums flush with enduring lyrical relevance. Take the beautiful but heartbreaking ballad, Jenny Bryce, for example. From any point of view, it’s indistinguishable from the numerous traditional tracks covered on his disc A Few Simple Verses.
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Les chansons folkloriques contemporaines, dans ce qu'elles ont de meilleur, donnent un aperçu des difficultés, des attitudes et de la détermination des personnages et des événements qui façonnent notre vie quotidienne. On peut habiller ces chansons d'arrangements inspirés et d'une instrumentation complexe, mais l'archétype de la chanson folklorique, dans son essence même, est une histoire. Des histoires et des gens. Une chose que des auteurs-compositeurs aussi convaincants qu'Eric Bogle, Si Kahn, Ewan MacColl et Stan Rogers ... ont tous compris et exploité avec tant d'efficacité.
James Keelaghan, lui aussi, creuse ce même filon avec la même habileté et une conviction comparable. Pour citer Eric Bibb, le bluesman acoustique américain primé, après avoir écouté Keelaghan : "[Vous êtes] un plaisir à entendre, tout simplement magnifique. Cela m'a rappelé les meilleurs des meilleurs d'une autre époque - Liam Clancy, Tom Paxton, etc. Moins coloré mais plus succinct, Dave Marsh, l'éminent critique de Rolling Stone, a simplement décrit Keelaghan comme « le meilleur auteur-compositeur canadien ».
En effet, au cours d'une carrière qui s'étend maintenant sur près de quatre décennies, le lauréat des prix Juno et du Canadian Folk Music Award a créé un répertoire d'une importance incalculable - un ensemble unique d'œuvres, inspirées ou tirées de la tradition folklorique. Dix albums solo d'une grande pertinence lyrique. Prenons par exemple la ballade Jenny Bryce, belle mais déchirante. À tout point de vue, elle ne se distingue pas des nombreux morceaux traditionnels repris sur son disque A Few Simple Verses.
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