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Les Cascades de l'art urbain invitent Demoiselle MM

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Une fois n’aurait pas suffi. Il fallait un double « M » pour les initiales de Mariane Mazel et pour le double « like », car on les aime au carré les Demoiselles !
Elles ont d’abord éclos sur les côteaux de Belleville, d’où l’on tirait ce vin clairet ; le guinguet, qui donna son nom à la Guingette. Déjà l’esprit de célébration était-là, et la danse aussi ! Une chorégraphie de douceur, tout en rondeur une ribambelle dont l’envie de vivre pourrait animer ces silhouettes, comme le bois celui de la marionnette ! Une ronde désuète et surannée mais tellement chouette !
Comment résister à l’invitation !? On est pris d’emblée dans le cercle de ces auréoles esthétiques, et la fenêtre sur le mur, se commue en fenêtre sur notre âme. Le dessein est semble-t-il assez saint pour que la peinture apparaisse comme acheiropoïète ; «non finie par la main de l’homme», mais par le truchement d’une intervention divine, un sacrement !
Inscrire les carrés dans les ronds, n’est-ce pas chercher le nombre d’or, ce rapport décrit dans la suite de Fibonacci ? On la trouve aussi bien dans un coquillage qu’au Parthénon. Toutefois l’équation si elle est d’inspiration divine, n’en est pas moins réelle et s’exprime sous la forme x2 - x - 1 = 0 😉 (c’est plus savant que la tête à Toto, mais ça en résume les totaux). C’est la grande question de l’histoire de l’art, Demoiselle MM la tranche au cordeau, dans ses propensions spirituelles et ses proportions individuelles.



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