Antibes - Pour Wikie, Keijo et les dauphins, ni Japon, ni Ténérife
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WIKIE, KEIJO ET LES DAUPHINS NE DOIVENT PAS ÊTRE CONDAMNÉS À MOURIR À PETIT FEU NI AU JAPON NI À TENERIFE !
Plus de sept mois après la fermeture définitive de Marineland, l’établissement persiste à exercer des pressions sur les autorités françaises dans le but de transférer Wikie et Keijo et les dauphins vers des delphinariums à l’étranger – d’abord au Parc de Kōbe, au Japon, puis à Loro Parque, à Tenerife. Et ce, en dépit des refus successifs des gouvernements concernés.
Cette fermeture ne saurait être un prétexte pour abandonner ces animaux à leur sort. Marineland a une responsabilité pleine et entière envers ceux qu’il a maintenu captifs depuis tant d’années. Wikie, Keijo, comme tous les autres, ont enrichi le parc, attiré les foules, et fait prospérer ses actionnaires. Aujourd’hui que les gradins sont vides, les animaux seraient relégués à de simples actifs à liquider ? Cette logique est indigne. Ce désengagement, à la fois moral et politique, est inacceptable.
Nous réclamons, depuis des années, une seule chose : une retraite digne et apaisée pour tous les animaux exploités par le parc.
Quand on s’arroge le droit de priver des êtres vivants de liberté, quand on les fait naître en captivité pour les transformer en produits d’appel, alors on assume ses actes jusqu’au bout. Prétendre aujourd’hui avoir étudié « les meilleures options dans l’intérêt des animaux » est une insulte à l’intelligence collective : les sanctuaires, pourtant seuls lieux pouvant leur offrir un véritable repos, ont été d’emblée écartés – car ils représenteraient, selon Marineland, une victoire des associations de protection animale.
Quelle absurdité ! Quelle mesquinerie !
Wikie et Keijo ne vont pas bien. Leur état, psychique et physique, est alarmant. Il est impératif que Marineland, le ministère de la Transition écologique, One Voice et toutes les parties concernées se réunissent avec un objectif commun : garantir à ces orques une fin de vie décente, loin de l’exploitation, loin des bassins chlorés.
Transférer un problème n’a jamais permis de le résoudre.
Il est temps de cesser de considérer les orques et les dauphins comme de simples objets de spectacle.
Il est hors de question qu’ils soient envoyés dans un autre delphinarium.
#SauvonsNosOrques #StopDelphinarium
Plus de sept mois après la fermeture définitive de Marineland, l’établissement persiste à exercer des pressions sur les autorités françaises dans le but de transférer Wikie et Keijo et les dauphins vers des delphinariums à l’étranger – d’abord au Parc de Kōbe, au Japon, puis à Loro Parque, à Tenerife. Et ce, en dépit des refus successifs des gouvernements concernés.
Cette fermeture ne saurait être un prétexte pour abandonner ces animaux à leur sort. Marineland a une responsabilité pleine et entière envers ceux qu’il a maintenu captifs depuis tant d’années. Wikie, Keijo, comme tous les autres, ont enrichi le parc, attiré les foules, et fait prospérer ses actionnaires. Aujourd’hui que les gradins sont vides, les animaux seraient relégués à de simples actifs à liquider ? Cette logique est indigne. Ce désengagement, à la fois moral et politique, est inacceptable.
Nous réclamons, depuis des années, une seule chose : une retraite digne et apaisée pour tous les animaux exploités par le parc.
Quand on s’arroge le droit de priver des êtres vivants de liberté, quand on les fait naître en captivité pour les transformer en produits d’appel, alors on assume ses actes jusqu’au bout. Prétendre aujourd’hui avoir étudié « les meilleures options dans l’intérêt des animaux » est une insulte à l’intelligence collective : les sanctuaires, pourtant seuls lieux pouvant leur offrir un véritable repos, ont été d’emblée écartés – car ils représenteraient, selon Marineland, une victoire des associations de protection animale.
Quelle absurdité ! Quelle mesquinerie !
Wikie et Keijo ne vont pas bien. Leur état, psychique et physique, est alarmant. Il est impératif que Marineland, le ministère de la Transition écologique, One Voice et toutes les parties concernées se réunissent avec un objectif commun : garantir à ces orques une fin de vie décente, loin de l’exploitation, loin des bassins chlorés.
Transférer un problème n’a jamais permis de le résoudre.
Il est temps de cesser de considérer les orques et les dauphins comme de simples objets de spectacle.
Il est hors de question qu’ils soient envoyés dans un autre delphinarium.
#SauvonsNosOrques #StopDelphinarium
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