Juliette & Mathieu | SCÈNES SISMIQUES
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Juliette & Mathieu | Théâtre | Une coproduction Le PàP et Théâtre À tour de rôle
Un après-midi théâtral composé de deux pièces, Nous ne saurons jamais dire j’habite de Juliana Léveillé-Trudel et La manière noire de Jean-François Aubé) qui interrogent notre rapport au patrimoine tant bâti que naturel, tant familial que culturel. Ces histoires intimes et sensibles mettent en lumière des enjeux collectifs comme l’appropriation territoriale ou, à une échelle plus personnelle, la protection de nos maisons familiales. Non seulement les thèmes sont concrets pour la région de Charlevoix, mais la distribution rassemble des artistes de Gaspé, de Matane et de Montréal, prouvant ainsi que des liens artistiques fructueux peuvent être créés entre régions.
Dans Nous ne saurons jamais dire j’habite, Juliana Léveillé-Trudel nous entraîne dans les méandres d’un héritage à double tranchant et expose, avec une tendre lucidité, les liens qui nous relient à nos milieux de vie. Dans la maison de son enfance désertée depuis des années, Juliette oscille entre le poids du passé et l’appel du renouveau. Comment préserver sans tout figer ? Comment avancer sans renier ce qui nous a construits ? La jeune femme revisite les luttes menées par sa mère et cherche comment défendre ses propres valeurs dans le monde d’aujourd’hui.
Dans La manière noire, Jean-François Aubé scrute les fissures du territoire gaspésien. Son texte fait entendre les voix de celles et ceux qui font face à l’appropriation perpétuelle des régions. L’action se situe dans un village côtier, où Mathieu, un universitaire spécialiste de l’œuvre du peintre Marc-Aurèle Fortin, propose la construction d’un musée pour protéger l’endroit d’une éventuelle disparition. Mais son approche heurte les habitant·e·s, révélant un choc de valeurs et de visions de l’avenir. La manière noire fait résonner les tensions entre enracinement et changement, entre modernité et mémoire.
Équipe artistique
Textes : Juliana Léveillé-Trudel et Jean-François Aubé
Mise en scène : Gabrielle Lessard et Patrice Dubois
Assistance à la mise en scène :Érika Maheu-Chapman
Distribution : Frédéric Boivin, Gabrielle Lessard, Pierre-André Bujold, Patrice Dubois et Noémie Godin-Vigneau
Scénographie :Étienne René-Contant
Costumes :Victoria Laberge
Éclairages :Chantal Labonté
Composition musicale : Salomé Leclerc
Substitut en répétition : - Justin Simon
Direction de production :Charlotte Ménard -
Direction technique : Rébecca Brouillard
Direction artistique :Patrice Dubois, Pascale Joubert et Gabrielle Lessard
Production déléguée :Julie Marie Bourgeois
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Un après-midi théâtral composé de deux pièces, Nous ne saurons jamais dire j’habite de Juliana Léveillé-Trudel et La manière noire de Jean-François Aubé) qui interrogent notre rapport au patrimoine tant bâti que naturel, tant familial que culturel. Ces histoires intimes et sensibles mettent en lumière des enjeux collectifs comme l’appropriation territoriale ou, à une échelle plus personnelle, la protection de nos maisons familiales. Non seulement les thèmes sont concrets pour la région de Charlevoix, mais la distribution rassemble des artistes de Gaspé, de Matane et de Montréal, prouvant ainsi que des liens artistiques fructueux peuvent être créés entre régions.
Dans Nous ne saurons jamais dire j’habite, Juliana Léveillé-Trudel nous entraîne dans les méandres d’un héritage à double tranchant et expose, avec une tendre lucidité, les liens qui nous relient à nos milieux de vie. Dans la maison de son enfance désertée depuis des années, Juliette oscille entre le poids du passé et l’appel du renouveau. Comment préserver sans tout figer ? Comment avancer sans renier ce qui nous a construits ? La jeune femme revisite les luttes menées par sa mère et cherche comment défendre ses propres valeurs dans le monde d’aujourd’hui.
Dans La manière noire, Jean-François Aubé scrute les fissures du territoire gaspésien. Son texte fait entendre les voix de celles et ceux qui font face à l’appropriation perpétuelle des régions. L’action se situe dans un village côtier, où Mathieu, un universitaire spécialiste de l’œuvre du peintre Marc-Aurèle Fortin, propose la construction d’un musée pour protéger l’endroit d’une éventuelle disparition. Mais son approche heurte les habitant·e·s, révélant un choc de valeurs et de visions de l’avenir. La manière noire fait résonner les tensions entre enracinement et changement, entre modernité et mémoire.
Équipe artistique
Textes : Juliana Léveillé-Trudel et Jean-François Aubé
Mise en scène : Gabrielle Lessard et Patrice Dubois
Assistance à la mise en scène :Érika Maheu-Chapman
Distribution : Frédéric Boivin, Gabrielle Lessard, Pierre-André Bujold, Patrice Dubois et Noémie Godin-Vigneau
Scénographie :Étienne René-Contant
Costumes :Victoria Laberge
Éclairages :Chantal Labonté
Composition musicale : Salomé Leclerc
Substitut en répétition : - Justin Simon
Direction de production :Charlotte Ménard -
Direction technique : Rébecca Brouillard
Direction artistique :Patrice Dubois, Pascale Joubert et Gabrielle Lessard
Production déléguée :Julie Marie Bourgeois
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